Aujourd’hui, près de 60 millions de personnes dans le monde fuient la guerre, la violence, la faim ou la pauvreté. Ces personnes sont dans l'obligation d'abandonner leurs familles, leurs amis et leur maison pour chercher un avenir meilleur, ailleurs. La plupart des réfugiés sont originaires de Syrie, de Somalie ou du Soudan. La majorité d'entre eux sont des déplacés internes, c'est-à-dire qu'ils sont en fuite à l'intérieur de leur propre pays. Et si ils quittent leur pays, c'est souvent pour rejoindre des pays voisins, très pauvres également, sans savoir quand il leur sera possible de rentrer chez eux.
CARE est présent dans plus de 40 régions en guerre ou en crise. CARE aide les personnes déplacées internes et les réfugiés en leur offrant de la nourriture, de l’argent, des abris et toute autre assistance.
CARE aide les réfugiés dans les Balkans, en Serbie et en Croatie en apportant de la nourriture, de l’eau potable et des produits d’hygiène.
L'aide dans les Balkans
Une aide pour les réfugiés syriens dans les pays voisins : En Jordanie, les projets « Cash-for-Work » permettent de sauver des vies.
Un rappel des idées fondatrices de l'Union européenne: La reconnaissance des Droits de l'Homme, la liberté et la solidarité.
que lors des discussions actuelles sur la situation des réfugiés en Europe, l'attention soit aussi portée sur la résolution des conflits.
Un soutien plus important pour les pays voisins des régions en conflits. Depuis le début de la crise syrienne, les pays voisins ont accueillis plus de 4 millions de réfugiés.
Imaginez un instant que vous avez cinq ans. Votre pays est en guerre. Vous êtes confrontés à des violences au quotidien, puis un jour vous fuyez. Loin de votre terre natale, vous menez une vie « en suspens » et affligée de cauchemars. Vos parents désespèrent. C’est le quotidien de millions d’enfants syriens.
Dans les camps de réfugiés en Syrie et dans les pays limitrophes, au Niger et au Kenya, le nombre d’enfants traumatisés par la guerre et la violence contre la population civile ne cesse d’augmenter. Les crises meurtrières qui les ont poussés à quitter leur foyer sont loin d’être résolues. L'espoir de retrouver une vie "normale" avec leur famille s'estompe au fil des jours passés dans les camps. Aidez-nous à donner de l’espoir et à encadrer les enfants et leurs mères traumatisés.
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